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Chroniques Parisiennes

2 mai 2010

Mood

Trop de travail. Trop de travail. Trop de travail. Trop de travail. Trop de travail. Trop de travail. Trop de travail. Trop de travail. Trop de travail. Trop de travail. Trop de travail. Trop de travail. 

 

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11 avril 2010

Wanna be the only one

Ou la loi des séries6a00d8345167aa69e20105349fff54970b_320wi

 

En ce moment, c'est un peu le désert dans ma vie sentimentale: trop de travail, peu de sorties, peu de nouveaux garçons et aussi pas vraiment envie de faire de nouvelles rencontres (connard de gendre idéal). 

Mais il y a quand même deux garçons "chouettes":


Kung Fu Panda est un copain que je connais depuis un an à peu près. Je l'ai rencontré dans un cadre professionnel et on est vite devenus amis. Beaucoup de complicité, un petit jeu de séduction, mais rien de vraiment ambigu puisqu'il vivait avec sa copine. Sauf que le temps passant, le petit jeu est devenu de plus en plus sérieux.

Il a obtenu un job à l'autre bout du monde (vraiment loin) et a donc décidé de quitter sa copine au moment de partir parce que la distance serait trop compliquée à gérer. Finalement elle a tellement pleuré qu'il est toujours avec. Juste avant son départ, nous nous sommes beaucoup rapprochés (nnnaaaaaannn pas comme ça), parce que j'ai vécu la même chose (la distance) et que ça s'est mal terminé. On en a beaucoup parlé, c'était beau et profond (non en vrai pas du tout, je lui disais juste qu'il faisait une connerie, il me disait qu'il le savait et la conversation s'arrêtait là).

Maintenant qu'il est arrivé au royaume de Far Far Away, il a déjà dormi avec une fille (tu comprends elle habitait trop loin je te jure il s'est rien passé) et a commencé à rappeler ses copines de soirées et potentielles plan Q. Et il me drague sur skype.

Et malgré tout, je pense que c'est quelqu'un de bien, juste un mec paumé qui n'ose pas dire à sa copine qu'une relation à distance pendant 2 ou 3 ans ça ne va pas être possible, et qui attend un moment parfait pour le lui dire (il espère probablement qu'elle prenne la décision d'ailleurs).

El Italiano est un charmant garçon en Erasmus à SciencesPo. J'ai complètement flashé sur lui dès notre première conversation. Nous étions dans le même cours, qui impliquait un gros travail de groupe, et je me suis "arrangée" pour être dans son groupe. Bonne stratégie parce que ce gros projet nous a conduit à beaucoup nous voir et à nous apprécier de plus en plus. Une fois le projet terminé, il m'a envoyé un mail pour connaître les endroits sympa à visiter en Bretagne, je lui ai répondu, on s'est échangés pas mal de mails, on est allé boire un café, on a déjeuné ensemble. Et je craquais de plus en plus.

Jusqu'à ce que lors du dernier déjeuner, il me demande si j'ai un copain ce qui m'a permis de lui retourner la question. Et là, badaboum, "oui j'ai une copine". Je suis tombée de haut... On a beaucoup parlé de relations à distance ce jour-là (sujet à la mode en ce moment), lui m'expliquait que c'était difficile la distance, que ce n'était plus pareil quand il la voyait, blablabla... Il a ajouté que j'avais vraiment de la chance d'être célibataire, de pouvoir m'amuser,... (LOL)

Lui ne me drague pas ouvertement, on est potes, on apprend à se connaître, mais comment expliquer qu'il attende un mois et demi (où on se voyait au moins une fois par semaine) pour m'apprendre l'existence de son +1... 

 

Tu dois te demander pourquoi je te raconte ça? Parce que j'aimerais bien une fois être la seule et l'unique, pas le numéro 2, et que ça fait longtemps que ça ne m'est pas arrivé. 

Il est possible qu'inconsciemment je rejette les targets potentiellement stables et célibataires en parlant très rapidement de mon départ imminent (dans 4 mois), peut-être que le côté impossible de ces relations me permet de ne pas m'impliquer parce que j'ai peur de m'investir dans une relation de toute façon condamnée par mon départ, peut-être que c'est plus facile de rejeter la responsabilité de mon absence de vie sentimentale sur ces garçons après tout! (Il n'empêche que le nombre de relations qui explosent autour de moi ne m'encourage pas à me recaser rapidement...)

Boys, boys, boys... 

Bonus track: j'ai aussi rencontré un garçon dans un autre cours, complètement charmeur, pas du tout mon style mais sympa et visiblement assez intéressé pour se souvenir de la date de mon anniversaire 3 semaines après que je la lui dise. Evidemment en allant fouiner sur Facebook, j'ai découvert qu'il avait une copine... 

1 avril 2010

Mood

Musique

  • I don't want a lover, Texas
  • Four Seasons, Vivaldi (je t'ai mis un bout du "Printemps" mais écoute tout, c'est beau)
  • Circle of life, The Lion King
  • Mockingbird, Eminem
  • Lemon Tree, Fool's Garden
  • Baba Yetu, Christopher Tin (pas dispo sur Deezer booooooh)
  • Les oiseaux du ciel, Tiken Jah Fakoly

Découvrez la playlist April 01 avec The Children Movie Players

Livres

  • Les piliers de la terre, Ken Follet
  • Délivrez-nous du mal, Romain Sardou
  • La Princesse de Clèves, Madame de la Fayette
  • The Turn of the Screw, Henry James
  • Courrier international 

Films

  • The Ghost Writer
  • Et c'est tout, faute de temps... 

Séries

  • Les saisons 1 2 et 3 de Dawson! 
  • Et rien d'autre, par manque de temps... 

Expo

  • Crime et châtiment au Musée d'Orsay

*****

28 mars 2010

Non, rien de rien

vachefolleEn ce moment, ma vie se partage entre : préparatifs d'anniversaire, préparatifs de départ, préparatifs d'exposés. Je le vis bien, c'est cool, je suis débordée et je ne rencontre plus de garçons. Enfin si, ceux avec qui je prépare des exposés. Ou des négociations. Parce que maintenant comme on est grands et presque diplômés, on fait des simulations de résolution de conflits et des négociations d'affaires internationales en équipe. 

C'est drôle les négociations, ça ne ressemble pas du tout aux autres travaux que l'on fait à ScPo. Mais c'est aussi très stressant et ça fait ressortir le pire qui est en nous. Sérieusement: je représentais une entreprise américaine qui négociait avec un acheteur africain pour construire une centrale thermique dans un pays X. Et je me suis battue comme une lionne pour lui faire payer le plus cher possible et obtenir le plus de concessions possibles (au détriment des populations locales évidemment)... Les techniques de négociation impliquent le mensonge, la duperie, la corruption et la menace. Le pire étant que ça devient presque un jeu et qu'on veut absolument gagner. 

Je me suis découverte intransigeante, menaçant de quitter la table de négociation si mes expatriés ne bénéficiaient pas d'exemptions fiscales et si on m'imposait des pénalités de retard à cause du manque de qualification des sous-traitants locaux. Oui, oui, l'un de mes arguments de négociation était que le pays X étant sous-développé, notre entreprise allait nécessairement avoir des problèmes avec ses sous-traitants et la douane et donc des retards incompressibles. Et j'ai réussi à faire passer les pénalités de retard de 1% à 0,5%. 

Si ça avait été la vraie vie, je crois que j'aurais eu du mal à me regarder dans un miroir après. So what, tu te dis? Le problème, c'est que ça risque d'être ma vraie vie d'ici quelques années. Et je crois qu'une partie de moi aime bien ça. 

18 mars 2010

1, 2, 3, 4

10 infos totalement inutiles à propos de moi: 

  1. Mon livre préféré c'est Un long chemin vers la liberté, de Nelson Mandela. 
  2. Je pars vivre à l'autre bout du monde dans 4 mois. 
  3. Je parle français, anglais, espagnol et swahili. Et je comprends le créole. (Je ne le parle pas, je ne sais dire que les insultes. Classe, c'est mon deuxième prénom). 
  4. Jusqu'à mes 18 ans, je n'avais jamais vécu plus de 2 ans dans le même appartement et jamais plus de 4 ans dans la même ville. 
  5. Je rêve d'aller à l'opéra et d'écrire un livre un jour dans ma vie. 
  6. J'ai un strabisme. 
  7. Je fais de la boxe française. . 
  8. Je me fais toujours draguer au moment où je m'y attends le moins, très souvent lorsque je suis dans mes pensées, à mille lieux de m'imaginer que quelqu'un me regarde. 
  9. Je manque terriblement de confiance en moi. Et ça ne s'arrange pas. 
  10. Si j'étais riche, je passerais ma vie à étudier. 
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6 mars 2010

Le problème du sourcing

A partir de combien de garçons issus du même vivier peut-on craindre un risque de réputation? brain_out_of_order

Non parce que là je sèche, j'hésite, je suis perdue.

Si je te dis que j'ai rencontré Le Gentil, SuperConnard et Le Gendre Idéal au même endroit. Certes, ils ne se connaissent pas forcément bien, voire même pas du tout, puisque c'est un endroit très grand avec beaucoup de gens.

Mais quand même: depuis que j'ai reçu un mail d'un quatrième garçon (issu de cet endroit) me proposant d'aller boire un verre, j'hésite. 

Non bon en fait j'ai un peu hésité. Et j'ai dit oui. Juste pour voir, pour savoir, pour l'excitation des débuts, du premier verre où on se retrouve face à face, des premiers sujets de conversation (ou des premiers blancs), des premières questions (mais quand est-ce qu'il va m'embrasser???). 

Mais quand même s'il venait à se passer quelque chose, une fois ces premiers moments passés, ça risque d'être compliqué à gérer une nouvelle relation avec quelqu'un avec qui j'ai travaillé. Est-ce que je lui dit pour les 3 autres? Parce que son ego de mâle risque d'être un peu mis à mal s'il apprend qu'il est n°4, non? Est-ce que je lui mens, en prenant le risque qu'il l'apprenne autrement? 

Encore une histoire qui partirait sur de très bonnes bases. 

F***

4 mars 2010

Le Militaire

Et encore un début parfait.soldier_playmobil

Vendredi dernier, je suis allée voir un match de rugby dans un pub rempli de gens. A priori pas vraiment le lieu où rencontrer l'homme de ma vie : je n'aime ni la bière, ni le rubgy. 

Et pourtant, le lieu étant beaucoup trop plein, nous ne pouvions nous asseoir mes amis et moi. J'ai donc usé de mon arme secrète : le décolleté. Je me suis approchée d'une table de garçons et leur ai demandé si ça les dérangeait que l'on partage leur table (mes amis garçons se cachaient pour accroître nos chances de trouver une chaise). La table de garçons a dit "oui oui pas de problème". Tout le monde était content : mes amis étaient assis, la table de garçons avait gagné des filles. 

Forcément, on a discuté avec nos nouveaux amis qui étaient en fait tout un tas de militaires venus fêter leur permission d'un jour (mais ils avaient un couvre-feu et devaient être rentrés à 23h... Le rêve quoi). Visiblement, ils étaient très heureux d'avoir des seins à qui parler. Sauf un qui était plutôt choupi et gentil, donc j'ai un peu plus parlé avec lui qu'avec les autres. Et comme il était vraiment choupi, je lui ai même donné mon numéro. 

Comme je m'envolais pour une contrée lointaine le lendemain, je me suis éclipsée assez tôt (et puis aussi, j'aime pas du tout le rugby). Le militaire choupi gentil était sorti je ne sais pas où, donc je n'ai pas pu lui dire "au revoir". Pas très grave cela dit puisqu'il avait mon numéro. En effet il l'avait : 5mn après mon départ, je découvre qu'il avait essayé de me joindre 3 fois! Bizarre non? Je rappelle pour savoir ce qui lui arrivait... Et il me dit "non mais je voulais te dire au revoir, tu veux pas ressortir du métro 3 minutes juste histoire de se dire au revoir". N'étant pas très pressée et un peu curieuse, je suis venue à sa rencontre. Et là.... il m'attendait avec une rose!!! Extraordinaire! Plus personne ne fait ça, c'était spontané et trop mignon. Et non je ne l'ai pas embrassé, je suis juste repartie chez moi avec ma rose. 

Et la suite de l'histoire: grosse coïncidence, le Militaire patrouillait à l'aéroport d'où je partais le lendemain donc on s'est croisés à cette occasion. Mais leur mission étant terminée, ils repartaient tous dans le Sud après. Depuis, il m'envoie tout plein de gentils sms. On se reverra peut-être un jour mais bon... les relations à distance très peu pour moi. 

Bonus track : tout le monde me regardait dans le métro, je pensais que c'était de la jalousie. Attends la fille, on lui a offert une rose. J'étais trop fière. Jusqu'à ce que je réalise qu'en fait j'avais des drapeaux français peints sur chaque joue. FAIL

11 février 2010

Facebook Boy

Facebook_iconSi tu te rappelles bien, je t'ai raconté qu'un beau brun mal rasé m'avait remonté le moral. En me draguant ouvertement sur Facebook, il m'avait fait bien rire. Et tout le monde sait que "femme qui rit...". Bref.

Petite leçon de drague :

Etape 1 : Un gentil mailou tu enverras à ta gente demoiselle. Tu lui demanderas alors, innocemment, si elle est réellement célibataire, car tu n'arrives pas à y croire. Et tu lui présenteras même tes excuses si elle estime ta curiosité déplacée.
La gente demoiselle sera flattée de cette attention et du compliment. Elle répondra même assez rapidement à ton mailou.

Etape 2 : Début d'un échange de mails informels et drôles. Drôle tu seras. Dédramatisons la drague! Tu l'inviteras rapidement à dîner. Be a man : propose des choses, prépare toi au vent. Tu te rendras compte qu'en prenant des initiatives et en étant un peu original et pas trop lourd, une fille (célibataire hein) n'a pas de raisons de refuser une invitation à dîner.

Etape 3 : Surprise. Tu l'invites à dîner chez toi. (Quooooooiiiiiii, tu cuisines?????) Attention, l'étape 3 est un peu dangereuse. J'ai beaucoup hésité avant d'accepter, mais finalement j'y suis allée. Ouais je suis inconsciente. (Mais non, j'avais plein de bonnes raisons d'accepter que je ne peux pas raconter ici). Plutôt que l'invitation chez toi, qui est un peu directe, pourquoi pas un restaurant original qui la surprenne.

Etape 4 : Cuisine bien (ça peut aider) ou trouve un restaurant bon (c'est mieux, je t'assure). Sois cultivé, intéressant. N'aborde la question du célibat qu'au dessert. Profite du dîner pour discuter politique, carrière, films et livres.

En fait, je te raconte tout ça, mais mon beau brun mal rasé a échoué. Les étapes 1 et 2 étaient parfaitement maîtrisées. En revanche, il a multiplié les erreurs, surtout au moment de l'étape 4.
Déjà, l'invitation à dîner chez lui. On ne s'était pas vus depuis 2 ans, j'aurais vraiment préféré un restaurant. C'est un peu plus impersonnel, je me serais certainement sentie plus à l'aise.
Ensuite, et ce n'est pas de sa faute, il habite loin. En banlieue. Mais la banlieue qui est loin, trop loin. Et il ne vient jamais à Paris. Et c'est juste hors de question que je m'amuse à aller passer mes week-ends là-bas. (oooooh la méchante snob parisienne)
Enfin, les pâtes n'étaient pas assez cuites. Inexcusable.

6 février 2010

Dans le métro...

... jeudi soir, il y avait un péruvien qui chantait Joe Dassin. Cette chanson-.

J'étais avec deux filles que je venais de rencontrer. Elles ne savaient pas qui chantait cette chanson. Mais où va le monde?

Enfin bon, tout ça ne nous ramènera pas Joe Dassin.

2 février 2010

Facebook is the new Meetic

Facebook_iconSur Facebook, tu peux dire si tu es en couple, célibataire, veuf, en relation compliquée,... Depuis quelques mois, je n'étais rien, je n'avais pas de statut. ça m'évitait de passer constamment de "célibataire" à "compliqué". Puisque toutes mes relations ont été plus ou moins compliquées et/ou cachées.

Depuis une semaine, j'ai décidé d'être claire et donc de passer en "célibataire", histoire de me libérer du Gendre idéal et accessoirement de signifier aux beaux bruns mal rasés de mon entourage que j'étais un cœur à prendre.

La magie de Facebook a visiblement fonctionné. J'ai reçu un message d'un beau brun mal rasé me demandant si j'étais "vraiment célibataire" et m'invitant à dîner histoire de se raconter nos vies depuis 2 ans.

Et toc.

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